Les Agents Sucrés

Jazz symphonique (MAO) pour un projet d'étudiants de LISAA : un jeu vidéo plein de fantaisie où l'on incarne un agent secret en immersion dans une cuisine des années 70.

Rougeole

Projet MAO pour Médecin Sans Frontières de Megi Hafizi, étudiante à l'école des Gobelins. Cette vidéo raconte l'expérience d'un médecin pédiatrique en République démocratique du Congo pendant l'épidémie de Rougeole en 2019.

 

TRÉSOR

Projet MAO pour la fondation Giacometti d'Asha Lin, étudiante à l'école des Gobelins. Cette vidéo interroge la manière dont Giacometti traite la question du genre dans ses sculptures. Des femmes, immobiles, face à des hommes, qui sont eux toujours en mouvement, dépendants, en quête de l'autre et de son trésor.

D.Gordon dans l'atelier de Giacometti

Projet MAO pour la fondation Giacometti de Billie E.Tolo, étudiante à l'école des Gobelins. Morphing entre les univers des deux artistes.

ElDorado

Musique inspirée par l'histoire du film Eldorado de Mathieu Volpe.
Synopsis : Originaire du Camerou, Awa est conductrice de dameuse sur les pistes de ski La Thuile, dernière ville italienne avant la France. En plein milieu de son service, elle croise Souleymane, un jeune migrant qui tente de passer la frontière...

La Reine des Neiges

Texte, voix et montage : Camille Lupinko

Illustrations : Ryszard Lupinko

Musique : Quentin Lupinko

Lupin'Swing

Illustration : Ryszard Lupinko

Montage : Camille Lupinko

Contrebasse : Hugo Rongières

Batterie : Guillaume Védie

Guitare, composition et MAO : Quentin Lupinko

Femme agenouillée au bûcher

Compostion symphonique MAO sur l'œuvre de Kiki Smtih exposée au musée de la Monnaie de Paris fin 2019.

Cette sculpture a été imaginée par Kiki Smith en réponse à l'appel diffusé par une ville allemande pour une commande dans l'espace public. À cette époque, l'artiste est frappée par la complète absence de monument à la mémoire des milliers de femmes assassinées en Europe, au fil des siècles, dans le cadre de procès de sorcellerie. Bien que son projet n'ait pas été retenu, Smith a réalisé trois versions de cette œuvre en leur hommage. Elle établit un parallèle entre la posture de la femme nue, agenouillée les bras ouverts dans l'attitude d'une orante, les yeux tournés vers le ciel, avec celle de Jésus en croix prononçant ses dernières paroles : "Mon Dieu, Mon Dieu pourquoi m'as-tu abandonné ?"